La Communauté d’Agglomération Porte de l’Isère (CAPI) est en charge de la compétence eau et assainissement. Elle déploie sur son territoire « une stratégie globale pour la gestion de la quantité et de la qualité de l’eau. Et elle a constaté que le territoire n’était pas exempt de Pfas. »

« Nous avons appris, par des analyses supplémentaires réalisées par une entreprise privée, en fin de semaine dernière que des traces de PFAS pouvaient exister sur un réservoir de la CAPI », précise-t-on du côté de la communauté d'(agglomération nord-iséroise.

« Pleinement mobilisé par ce sujet, le président de la CAPI et le vice- président en charge de l’eau ont immédiatement informé les maires concernés et ont déclenché des analyses complémentaires à l’ensemble du territoire », ajoute-t-on à la CAPI.

Et d’ajouter : « Aussi, déterminée à mettre tout en œuvre pour la sécurité des habitants, la CAPI apportera toutes les réponses nécessaires (traitement, changement de réservoir de service, nettoyage et analyses complémentaires) et déposera plainte contre X pour identifier les raisons de cette contamination. »

Précision importante, néanmoins,  » la CAPI, en lien avec les services de l’Agence Régionale de Santé, précise que les taux retrouvés dans l’eau ne sont pas de nature à la rendre impropre à la consommation. Aucune restriction de consommation n’est à ce jour prescrite. »

A suivre, donc…