En cette soirée du mercredi 6 juillet, on pouvait croiser dans les travées du théâtre antique de Vienne des spectateurs en …peignoirs de bain. Une forme d’hommage en fait à la star de la soirée, le franco-américain Marc Rebillet dont les shows sur la toile comme sur scène se déroulent invariablement revêtus dudit peignoir de bain, sa marque de fabrique, comme ce fut le cas où seul en scène, il s’installa devant ses platines face aux 3 700 festivaliers présents.

Alliant vulgarité assumée, humour potache, il fit danser le théâtre antique transformé en immense dance floor.

Même si une partie de son spectacle est assure-t-on improvisé, on était pourtant fort loin du Jazz…

A côté, le Californien Louis Cole et ses invités qui assurèrent la première partie avait presque l’allure d’une… formation classique, même si son électro-pop eut par moment un peu de mal à décoller, n’empêchant pourtant pas le public de chalouper.

Heureusement, on revient sur terre demain jeudi 7 juillet avec la Nuit du Blues et un retour aux fondamentaux d’où devrait émerger Manu Lanvin, le fils de Gérard et ses “Devil Blues”, sept albums au compteur pour l’auteur du “Grand Casino”…