Procession religieuse descendant de Pipet, selon une très, très longue tradition, vierge en tête ; « soupe des chefs », complétée cette année par la « confiture des cheffes » ; stand de mets divers et variés où dominait cette année la raclette ; déambulations musicales jazzy ou moyenâgeuses ; enfants jouant et s’ébattant dans le Jardin du Père Noël, parvis de l’hôtel-de-ville : à Vienne, une nouvelle fois cette année la Fête des Lumières du 8 décembre, n’était pas une, mais multiple.

Et c’est sans doute ce qui explique son succès, une nouvelle fois cette année, aidé cette année par un temps particulièrement doux, contrairement à l’année dernière où la Fête avait été quelque peu gâchée par la pluie.

Elle a une nouvelle fois pu arborer toutes ses couleurs avivées par les éclairages de la Ville qui a revêtu ses habits de Fête, permettant à chacun, petits et grands, avec le sourire et des éclats dans les yeux, d’entrer dans l’hiver, même s’il n’en revêtait cette année pas vraiment l’aspect…